dimanche 18 février 2007

MURDER OF U.S. NATIONALS OUTSIDE THE UNITED STATES; CONSPIRACY TO MURDER U.S. NATIONALS OUTSIDE THE UNITED STATES; ATTACK ON A FEDERAL FACILITY RESULTING IN DEATH

Aliases: Usama Bin Muhammad Bin Ladin, Shaykh Usama Bin Ladin, The Prince, The Emir, Abu Abdallah, Mujahid Shaykh, Hajj, The Director

DESCRIPTION

Date of Birth Used: 1957 Hair: Brown
Place of Birth: Saudi Arabia Eyes: Brown
Height: 6'4" to 6'6" Sex: Male
Weight: Approximately 160 pounds Complexion: Olive
Build: Thin Citizenship: Saudi Arabian
Language: Arabic (probably Pashtu)
Scars and Marks: None known
Remarks: Bin Laden is left-handed and walks with a cane.


CAUTION

Usama Bin Laden is wanted in connection with the August 7, 1998, bombings of the United States Embassies in Dar es Salaam, Tanzania, and Nairobi, Kenya. These attacks killed over 200 people. In addition, Bin Laden is a suspect in other terrorist attacks throughout the world.


On peut s'arrêter là sur la fiche de recherche du FBI sur oussama ben laden.. Il n'est pas recherché pour les attentats du 11 septembre mais pour les attentats aux ambassades américaines de nairobi, au kenya le 7 aout 98...

Qu'en est il du crash de l'avion sur le pentagone??

Aucun débris de boeing 737 n'a été retrouvé dans les débris du pentagone.. Il se serait volatiliser lors de l'impact.. Incroyable, puisque sur un 737, les réacteurs sont constitués d'un aliage de titate et de carbone qui ne peut pas avoir disparu comme par magie. De plus, s'il avait vraiment disparu comment se fait il qu'on a réussi à identifier des corps et à retrouver des documents intacts??

L'avion est arrivé en touchant le sol avant de s'encastrer dans le pentagone. Seulement, il n'y a aucune trace sur l'herbe.
Le trou de l'impact sur le pentagone fait 5 metres de large.. or un 737 ne fait pas 5 metres de large.. Ou est la trace des réacteurs dans le mur???

11/09 : les théories du complot dans la presse US

par phil, 9 September 2006

A quelques jours du cinquième anniversaire des attentats qui firent 2985 morts au World Trade Center et au pentagone, la grande presse américaine ne peut plus ignorer les adeptes de la théorie du complot (lire également dans Universmedias). Autrement dit tous ces “conspirationnistes” (terme péjoratif), qui rejettent la version officielle des attentats du 11 septembre 2001. Et dont les sites internets fleurissent sur le web

Time magazine consacrait, dimanche, un article - “Why the 9/11 conspiracies won’t go away” - sur ce phénomène qui ne cesse de prendre de l’ampleur et s’enracine dans la société américaine.

SUJET TABOU

Longtemps, le sujet a été tabou. Les medias dominant, et toute l’Amérique, s’étaient apparemment mis en ordre de bataille derrière leur président, légitimant la guerre comme une réponse à l’agresseur.

Time magazine ne peut aujourd’hui que constater - selon un dernier sondage - que 36% des américains ne croient plus en la version officielle. Selon Time, les conspirationnistes croient que ce n’est pas Al Quaïda qui est à l’origine des attaques… mais le gouvernement US lui-même.

UNE REALITE POLITIQUE

La croyance au complot s’appuie sur de nombreuses questions posées par les familles de victimes, et restées à ce jour sans réponse. Croyance fondée aussi sur la théorie la plus troublante parmi celles en circulation : la “démolition contrôlée” des tours du WTC (thèse développée par Scholars for 9/11 truth).

36% de “conspirationnistes”, ce n’est pas un phénomène marginal. Mais une réalité politique de premier plan“, constate le magazine.

Autant le dire, Time magazine n’adhère pas à ces théories conspirationnistes : les “preuves” du complot ne tiendraient pas la route et impliqueraient trop de monde. C’est la thèse de l’article, qui n’entre d’ailleurs pas dans le détail des différentes variantes de théories du complot.

RECONNAISSANCE

Le magazine avance une explication psychologique dans la séduction suscitée par ces thèses complotistes. Elles seraient un refus du caractère aléatoire et imprévisible de la vie. Elles participeraient aussi au travail de deuil national du peuple américain… Qu’importe, au fond : c’est la reconnaissance du phénomène qui compte.

En mars dernier, New-York Magazine publiait, de son côté, une enquête très fouillée (The ground zero grassy Knoll). Posant toutes les questions génantes (celles qui restent à ce jour sans réponses) et développant une à une les théories complotistes, dans le moindre détail.

Au passage, le magazine relève que la moins crédible est celle de… Thierry Meyssan (selon laquelle ce n’est pas un avion qui s’est crashé contre le Pentagone, mais un missile).

En revanche, aucun jugement négatif n’est formulé à l’encontre des conspirationnistes. Et les liens entre Oussama Ben Laden et la CIA sont pointés.

CONTRE OFFENSIVE DU GOUVERNEMENT

On est bien loin de la diabolisation de l’Afghanistan et de l’Irak, aux lendemains du 11 septembre. Un sondage de l’été 2004 montre que les New-yorkais eux-mêmes pensent, à 49.3%, que leurs responsables politiques étaient informés. Deux ans plus tard, le doute s’est encore accru, indique New-York magazine.

C’est sans doute la raison qui pousse le gouvernement américain, ces jours derniers, à lancer une offensive visant à démonter les théories du complot, et ce à l’approche de la commémoration du cinquième anniversaire des attentats.

Théorie officielle contre théories du complot : les medias américains se gardent bien de trancher, mais ils ne peuvent plus ignorer les thèses conspirationnistes, en tant que véritable phénomène de société.

Lettre de yves (forum Reopen911) aux journaux et hommes politiques

Récit d'une surprise étourdissante

Des experts ont examiné les photographies et les images télévisuelles des attentats du 11 septembre 2001, ont lu le rapport d'enquête et estiment que le scénario officiel ne concorde pas avec les faits. Ils demandent une nouvelle enquête. Certains vont plus loin et accusent le gouvernement Bush d'être complice et de couvrir les auteurs des attentats, qui seraient les militaires et les services secrets américains. Selon ces experts, les tours jumelles ne seraient pas tombées sans la présence d'explosifs, un missile aurait frappé le Pentagone et non le vol 77, et le vol 93 aurait été abattu par la chasse au mépris de tous les règlements. Appelons cela la “théorie du complot”.
Par deux fois, des échos de la théorie du complot me sont parvenus et je les ai ignorés. Je me disais : pourquoi perdre mon temps à ces bêtises ? C'est donc par hasard et à mon insu que je suis arrivé dans le “chaudron”, il y a six semaines. La surprise a été de taille car il ne s'agit pas, loin de là, d'une petite rumeur isolée : ce sont des dizaines de sites internet, des dizaines d'heures de film, des centaines d'articles, et des traductions dans de nombreuses langues, de l'arabe au polonais en passant par le norvégien, qui alimentent la rumeur ! Cinquante universitaires américains ont monté une association ; un mécène américain finance des conférences ; des initiatives populaires se montent (affiches, tracts, etc.) ; les livres sur le sujet sont des best-seller... Le moins que l'on puisse dire est que le silence médiatique, à peu près total sur le sujet, ne laissait pas présager un tel bouillonnement !

S'agit-il de la plus folle rumeur internet ayant jamais existé ? Après avoir vu le film Loose change, mon point d'entrée accidentel dans l'univers sceptique, ma première pensée a été : tout cela peut-il être vrai ? Aujourd'hui, truquer les images est un jeu d'enfant. Il peut s'agir d'un canular, d'une manoeuvre politique, d'une tentative de prouver l'incapacité d'internet à vérifier son information, etc. Il fallait donc douter de tout, de tout le monde, de chaque information. J'ai entamé une recherche. Pendant trois semaines j'ai écouté les deux parties, les “sceptiques” et leurs contradicteurs. Je me suis offert (soyons fous !) un abonnement aux archives en ligne du Monde, du Nouvel Observateur et de L'Express. Mon intention était de recouper l'information. J'y suis parvenu sur un point majeur et sur plusieurs points secondaires. Un point, c'est peu mais c'est déjà pas mal ! Mais ma conviction est que, pour qui parle anglais, il est facile de recouper une bonne partie des informations puisque les contestataires les tirent de sources officielles. (Et ce travail de recoupement, d'autres l'ont fait.)

Oublions le point majeur recoupé et reposons-nous la question : et si tout cela était faux ? Je me suis alors souvenu que le gouvernement Bush :
– a menti en affirmant que l'Irak possédait des armes de destruction massive.
– a menti en affirmant que Saddam Hussein était lié au 11 septembre.

– a menti en affirmant qu'aucun avertissement n'avait évoqué la possibilité d'une telle attaque [1].
– a tenté de mettre à la tête de la Commission d'enquête un homme partial, finalement remplacé par un autre devant les protestations [2].
– a tenté d'empêcher l'enquête du Congrès [3].
– puis, a gêné l'enquête du Congrès [4].
– a censuré 20% du rapport du Congrès [4].
– a tenté de décourager les médias sur les enquêtes secondaires [5], lesquels médias ne se sont même pas emparés de l'enquête principale [6].
– a négligé de nombreux signaux avant-coureurs [4].
Et par ailleurs, que :
– le scénario officiel comporte des “trous” et est entouré de secret [7].
– une vague sans précédent d'agents du FBI dénoncent de graves dysfonctionnements internes, la figure de proue de ce mouvement étant Sibel Edmonds [8].
Et l'on accorderait une confiance aveugle à l'administration Bush ! Est-il fou de penser que ce gouvernement ait fait en sorte que l'enquête ignore certains détails qui l'auraient menée dans une autre direction ? (en plaçant un “ami” à sa tête, en la sous-finançant...) A tout le moins, le risque de mensonge est le même des deux côtés. Mais, me répondra-t-on, peut-être que Bush ne tente de cacher que l'incompétence de ses services de renseignement. Pas seulement : souvenons-nous que le 11 septembre, durant 40 minutes l'armée de l'air s'est montrée incapable d'intervenir. Autre incompétence lourde de conséquences.

Mais je ne suis pas au bout de mes surprises. Par moments, les articles de presse et la thèse officielle défient le bon sens :
– Un Boeing 757 s'engouffre dans le Pentagone par une porte de service, sans abîmer le chambranle, et s'y désintègre [9] entièrement, y compris ses deux moteurs de six tonnes chaque en alliage d'acier et de titane.
– Un simple feu de ville (environ 300°) fait céder les monumentales poutres d'acier des tours jumelles [10], capables de résister deux heures à 600°. La faute... à une mauvaise protection incendie [11].
– Le 11 septembre dans l'après-midi, une tour moderne de 47 étages, la WTC 7, s'effondre en 6,5 secondes, c'est-à-dire à la vitesse de la chute libre, à la suite d'un incendie mineur et sans avoir été frappée par un avion.
Je suis informaticien et ne possède aucune expertise dans les domaines concernés : aéronautique, résistance des matériaux, incendies, etc. Mais enfin, cette fois, cela demande explication !

J'ai lu attentivement et avec beaucoup de suspicion la littérature sceptique. Mais, à mes yeux de néophyte, celle-ci s'est révélée précise, brillante, éloquente, d'un haut niveau scientifique et technique. N'est pas le premier venu qui peut écrire le texte de Steven E. Jones. Lorsqu'il s'agit de démonter le scénario officiel, les sceptiques font preuve d'une remarquable homogénéité. Ils ont rassemblé une telle collection d'indices concordants en leur faveur que le scénario officiel, s'il était vrai, serait la plus incroyable collection de coïncidences de l'histoire ! Si tant est que l'on parvienne un jour à disposer d'un scénario complet... Enfin, à une exception mineure près, je n'ai vu personne contredire une information factuelle donnée par les sceptiques.

Ceci posé, la thèse alternative n'en devient pas automatiquement juste. Peut-être y a-t-il eu en effet incompétence au sein du gouvernement et de l'armée américains, et incapacité des journalistes à vulgariser des débats techniques difficiles. Retour au point de départ : qui croire ? Les raisons qui m'ont fait “basculer” sont ténues :
– un ensemble de faits favorables à la thèse alternative,
– un ensemble de faits défavorables à la thèse officielle,
– le manque de confiance dans un gouvernement qui a menti,
– le fait que le crime profite outrageusement à un petit cercle de gens proches du pouvoir (mobile du crime),
– l'improbabilité d'une si longue chaîne d'incompétence,
– et enfin, la preuve recoupée évoquée au début.
Cette preuve, quelle est-elle ? Elle a une histoire : pour faire taire la rumeur d'absence d'avion au Pentagone, les autorités ont diffusé en 2006 (enfin !) une courte séquence vidéo montrant le crash. Cette vidéo, très répandue, est présente sur le site de CNN [12] et Le Monde la décrit [13]. Mais ce n'est pas l'avion que l'on nous montre qu'il faut regarder, avion trop petit d'ailleurs et que l'on distingue mal, mais la flamme du crash. Une flamme rouge, s'élevant rapidement et remplacée en l'espace d'une seconde par de la fumée. Comparons-la avec l'énorme flamme jaune, de 100 mètres de long, des tours jumelles : ces deux flammes n'ont rien de commun ! Explication : la première est une explosion, la seconde, une combustion, celle du kérozène. Au Pentagone, une telle flamme aurait-elle pu être à l'intérieur du bâtiment en restant invisible de l'extérieur ? Non, bien sûr. Il n'y avait pas de kérozène au Pentagone. Donc, pas d'avion...

Parce que ces fous criminels veulent la guerre des civilisations, celle de l'Occident contre l'Islam, je fais aujourd'hui circuler l'information le plus largement possible.

Yves xxxxx

Annexe : Comment s'informer, agir ? L'information fiable n'existe aujourd'hui que sur internet. Un bon point d'entrée est le site http://reopen911.online.fr/, le plus actif à ma connaissance. On y trouve les principaux films, sous-titrés en français : « Loose change » et « 911 Revisited ».

Les mots clés pour une recherche sont : Pierre-Henri Bunel, David Ray Griffin, Steven E. Jones, Thierry Meyssan, Jean-Pierre Petit et Sacha Sher.

[1] Le Nouvel Observateur, 7 avril 2004, « 11 septembre 2001 : le FBI savait ».
[2] Le Monde, 18 décembre 2002, « Kean préside la commission d'enquête du 11 septembre ».
[3] Le Monde, 24 septembre 2002, « Le Congrès veut savoir si les attentats du 11 septembre auraient pu être déjoués ».
[4] Le Monde, 26 juillet 2003, « Les services de renseignement américains sous le feu de la critique ».
[5] Le Nouvel Observateur, 24 juin 2006, « La CIA espionne la finance internationale ».
[6] Le Monde, 28 octobre 2004, « La bataille pour la démocratie / 3 – Alertes et contre-pouvoirs ».
[7] Le Monde, 21 mars 2002, « Un avion a bel et bien frappé le Pentagone » et Le Monde, 26 juillet 2002, « L’imposture démontée ».
[8] Télécinéobs, 16 septembre 2006, « Un agent trop bavard » et Le Monde, 28 octobre 2004, « La bataille pour la démocratie / 3 – Alertes et contre-pouvoirs ».
[9] Le Monde, 21 mars 2002, « Le Net et la rumeur ».
[10] France 5, 2002, « World Trade Center, autopsie d'un effondrement ».
[11] Le Moniteur, http://www.lemoniteur-expert.com/depech … ;numPage=2
[12] CNN, http://archives.cnn.com/2002/US/03/07/g … .pictures/ , « Images show September 11 Pentagon crash ».
[13] Le Monde, 18 mai 2006, « 11 septembre : deux vidéos de l’attaque du Pentagone ».


J'ai l'intention d'envoyer la lettre à autant de gens que possible et dans toutes les directions, comme évoqué dans le message initial.
L'idée sous-jacente est la suivante : il est plausible de penser que pas mal de gens connaissent la teneur de la thèse alternative. En revanche, les gens qui ont la certitude que la thèse alternative est vraie forment un tout petit noyau (en gros, nous ici sur reopen911 !). C'est la raison pour laquelle ça ne bouge pas. Donc l'idée de la lettre c'est de faire tomber la première barrière, celle de la CREDIBILITE des informations. Toute la lettre s'appuie là-dessus, pose et repose la question de la vérité. Vous aurez remarqué que la thèse alternative elle-même n'est abordée que de façon très brève, en une seule phrase au début. Si j'ai suscité la curiosité des gens, ils iront sur le site se renseigner sur les détails. Par contre, il est important qu'ils CROIENT ce qu'ils verront et c'est pourquoi cette lettre repose à 75% sur des articles de presse référencés. Le message subliminal est : "nous ne sommes pas aveugles ; nous avons écouté nos contradicteurs".

Je prépare une version PDF "jolie" incluant éventuellement en petit, si j'ai de la place, les deux photos de flamme.

Concernant l'utilisation cette lettre, je prépare une réponse à shawford dans son sujet "Politique éditoriale et sens de notre action" (shawford a écrit un message fort intéressant et qui pose de nombreuses questions).

Voilà voilà.

Yves

samedi 17 février 2007

Vous voulez des preuves sur les faits qui se sont réellement passés le 11 septembre 2001?

RDV sur le site reopen911.info
A propos du 11 septembre, de quel complot parlons-nous ?

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Giulietto Chiesa à la conférence « Axis for Peace 2005 »
De gauche à droite : Jhannett Madriz Sotil, Ahmed Tibi, Issa El Ayoubi, Giulietto Chiesa, Antonio Alberto Vulcano, Mateusz Piskorski.

A propos du 11 septembre : qui est le comploteur ? Celui qui accepte la version officielle, selon laquelle 19 inadaptés, guidés par un monsieur qui ne sait pratiquement rien de ce qu’ils sont en train de faire, et qui se trouve à une distance de 20 mille kilomètres, dans une grotte afghane, arrivent à réaliser 75 % de leurs objectifs (trois avions sur quatre) en tuant environ 3000 personnes et en semant la panique la plus totale dans la première et unique superpuissance mondiale ? Ou bien, celui qui ne croit pas à une telle fantaisie, ridicule et insoutenable version des faits, et demande, simplement, qu’on lui en donne une version plus crédible, correspondante aux données qui vont désormais s’accumulant depuis cinq ans et ne peuvent plus être démenties ?

Bien que le complot soit, selon toute évidence, celui qui est décrit et fourni par l’Administration américaine ; bien qu’on ait tous la preuve que le président des Etats-Unis, et son adjoint, sont des menteurs patentés ; bien que ceux-ci aient déjà fait mourir (en Irak), en les envoyant combattre sur la base d’une série de mensonges criants, au moins autant d’américains que ceux qui sont morts dans les attentats du 11 septembre (sans compter les morts civils en Afghanistan et en Irak, qui, pour l’occident, ne comptent de fait pour rien) ; bien que tout ceci soit déjà largement connu, ce sont ceux qui demandent la vérité qui sont qualifiés de « comploteurs » et leurs idées « des théories du complot ».

Et qui sont les accusateurs ? Tous les plus importants organes d’information du monde. Lesquels, au lieu de faire du journalisme, en soumettant la version officielle aux vérifications normales que requiert toute version officielle, sont devenus des mégaphones propagandistes, attachés de presse du gouvernement étasunien. Depuis cinq ans, une chape de silence lourd comme le plomb est tombée sur l’affaire qui « a changé l’histoire du monde ». Rien de moins. On a continué à parler du 11 septembre, comme d’un mantra répété à l’obsession ; de ses conséquences, la guerre contre le terrorisme international, on a rempli les pages et les écrans du monde entier. Mais toute question a été tue. Au contraire, les rares individus qui essayaient d’opposer quelque timide objection, en se fondant sur les plus gigantesques incongruités de la version officielle, c’est-à-dire du complot officiel, étaient simplement tournés en dérision, quand ils n’étaient pas traités de fous, déments, ou dangereux alliés de ces terroristes islamiques.

Arrivé en ce point, le mainstream de l’information s’est tu, a menti, déformé les faits, intimidé, censuré en s’autocensurant, au point de contraindre à en conclure que s’il y a eu un complot, ça a été celui des grands médias d’information : pour empêcher que le vrai complot, officiel, soit découvert et dénoncé. Une colossale opération de détournement de l’attention a été accomplie et la tromperie est devenu un fait historique d’une puissance granitique telle qu’il ne peut plus être, je ne dis pas démoli, mais même rayé de la moindre ombre de doute.

Mais, à cinq années de distance, les fissures se sont élargies dans le mur de silence. Et il n’est plus possible de se taire, pas même aux Etats-Unis où parler équivaut à être taxé de terroristes (en Italie à peine un peu moins). Ainsi s’explique que Matrix ait décidé de parler du 11/9 déjà deux fois au moins en quelques jours. C’est arrivé après que Beppe Grillo, sur son blog, ait décidé de publier une de mes lettres, invitant à « Rompre le mur du silence ». En conséquence de quoi, non seulement le blog a été envahi de commentaires, de soulagements en grande partie, des gens qui attendaient d’un moment à l’autre que le bouchon saute, mais le site de Megachip (www.megachip.info ), et son dossier 9/11, a été assailli par plus de 220 mille visites individuelles en l’espace de trois jours.

Histoires italiennes, de banlieue de l’empire, dira-t-on. Et au contraire, il ne s’agit pas de ça. Parce que quelques jours avant, le 23 mai précisément, le premier sondage d’opinion en la matière, effectué aux Etats-Unis par le très autorisé Zogby, pour le compte du groupe de recherche « Vérité sur le 9/11 » (celui qui a organisé une grande rencontre qui s’ouvre ces jours ci à Chicago) a permis de découvrir que 45 % des américains trouvent acceptable l’idée de rouvrir l’enquête sur les attaques du 11 septembre, pendant que 42 % pensent qu’il y a eu un complot (cover up), mais que ceux qui l’ont mené, pour cacher la vérité, ce sont les autorités fédérales. Ils sont minoritaires, ceux qui pensent ça, mais ils ne sont plus « marginaux ». Peut-être est-ce pour cette raison que quelque chose commence à filtrer, pour empêcher que le petit ruisseau ne devienne un torrent. C’est ainsi que sortent des films mystérieux qu’on gardait secrets, auparavant. Et d’autres choses sortiront, pour hausser des écrans de fumée, et brouiller les pistes. Le meilleur va arriver, il suffit d’être attentifs, et d’ouvrir les yeux.

http://www.voltairenet.org/article140106.html#article140106
Pour le Monde diplomatique norvégien, le 11 septembre est un complot intérieur US



L’édition norvégienne du Monde diplomatique a publié dans son numéro de juillet 2006 un remarquable dossier sur les attentats du 11 septembre concluant qu’ils sont le fruit d’un complot intérieur US. L’affaire fait grand bruit au point que, les uns après les autres, les grands médias écrits et audiovisuels du Royaume ont publié leurs propres enquêtes, soit acceptant le doute, soit arrivant à la même conclusion.

Alors que Le Monde diplomatique norvégien avait accordé au Réseau Voltaire l’autorisation de traduction et de reproduction de ce dossier, la direction française du Monde diplomatique (filiale du groupe Le Monde) y a opposé un veto formel.

Nous déplorons de ne pouvoir donner à nos lecteurs accès à ces informations. Cependant, ceux qui souhaitent contourner cette censure peuvent consulter le dossier complet du Monde diplomatique en norvégien ou les articles traduits en anglais :
- « The Explosions that Razed the Towers » par Ann Grieg (en bas de page)
- « Media Polls » par Kim Bredesen (en bas de page)
- « Was 9/11 an inside job ? » par Kim Bredesen.

Ils peuvent aussi consulter un article traduit en anglais de l’Aftenposten, « 9/11 Theories flourish », et un autre du Dagbladet, « The Third Tower ».